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Participer aux Jeux olympiques, c’est le sommet pour beaucoup de sportifs. Mais derrière les podiums et les médailles, c’est pas la fête pour tout le monde. Pas mal d’athlètes galèrent grave côté finances, entre entraînements, manque de thunes et gros sacrifices.
Pas assez de thunes pour s’entraîner.
Contrairement à ce qu’on pense, tous les athlètes des JO ne sont pas blindés. Ceux qui viennent de sports moins connus galèrent à trouver des sponsors ou des aides. Résultat : ils doivent bosser à côté pour payer leur matériel, leur staff ou même leurs déplacements. Et ça, c’est chaud quand t’as des entraînements hyper exigeants.
Un exemple ? Gwen Berry, spécialiste du lancer de marteau, a dû enchaîner des petits boulots comme serveuse pour financer ses compétitions. Elle a souvent dû choisir entre payer son matériel ou couvrir ses frais de déplacement.
Les médailles, pas si rentables que ça
Gagner une médaille, c’est stylé, mais ça rapporte pas des masses. En France, une médaille d’or, c’est 65 000 euros, mais cet argent part souvent dans les frais d’entraînement. Et si t’en gagnes pas ? Bah, t’as presque rien.
Contrairement aux stars du foot ou du tennis, la plupart des sportifs olympiques tirent pas grand-chose de leur carrière.
Après les JO, c’est le flou total.
Quand les JO sont finis, c’est souvent la galère pour retrouver une vie normale. Beaucoup ont du mal à trouver un taf parce qu’ils ont tout misé sur le sport.
À part quelques champions qui restent sous les projecteurs, les autres doivent repartir de zéro, souvent sans diplôme ou expérience pro.
Des sacrifices de dingue.
Pour s’entraîner à fond, les athlètes mettent souvent leur vie perso de côté. Certains se mettent dans des dettes énormes ou comptent sur leur famille pour financer leur rêve. Cette pression peut vite devenir un vrai poids, autant dans la tête que dans la vie de tous les jours.
Comment mieux les aider ?
Pour que les athlètes arrêtent de galérer, quelques trucs pourraient changer :
Plus d’aides de l’État pour les sports moins connus.
Encourager les sponsors à aider les jeunes talents, pas que les grosses stars.
Monter des fonds solidaires pour les aider après leur carrière.
Rêver, mais à quel prix ?
Les Jeux olympiques font rêver tout le monde, mais pour beaucoup d’athlètes, c’est un combat quotidien pour tenir financièrement. Avec plus de reconnaissance et d’aides, on pourrait leur permettre de vivre leur passion sans galérer à chaque étape.
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